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On peut conter sur nous !

Avec Hervé Germain, Luc Kienzel, Sophie Matel et Maylis Schio

Textes et chansons / Luc Kienzel

Mise en scène / Christophe Patty

Musique / Philippe Leroy

Costumes / Bertrand Sachy

Masques / Étienne Champion

Décors / Stéphane Fauchille et Hervé Germain

 

Durée du spectacle : 1h00

Tout Public, à partir de 8 ans

Spectacle créé dans le cadre d'une Résidence Artistique Longue sur le Territoire d'Amiens Métropole, et soutenu financièrement par Amiens Métropole, le Conseil Régional des Hauts-de-France , le Conseil départemental de la Somme et la DRAC des Hauts-de-France

Cette nouvelle création est née de l'envie d'aborder, à notre manière, un répertoire populaire de tous. Nous nous sommes alors tournés vers deux contes qui ont notamment installé dans les mémoires deux figures intemporelles: Le Petit Chaperon rouge et Le Petit Poucet. Luc Kienzel en a imaginé une adaptation très libre, dans cette idée d'un diptyque pour la rue constitué de deux petites formes rassemblées en une proposition artistique unique intitulée "On peut conter sur nous!"


Quand Art Tout Chaud s’empare des figures du Petit Chaperon Rouge et du Petit Poucet, ça donne « On peut conter sur nous ! », un diptyque de rue coloré et masqué, une comédie sociale décalée et fantaisiste. Vous y verrez se démener des hommes et des femmes malmenés par la vie, et des mômes qui n’ont pas froid aux yeux. Quant à Mère-grand et à l’Ogre … Que dire ! Prenons place et tendons l’oreille pour avoir le fin mot de ces deux histoires.

 

 

 

 

 

NOTE D'INTENTION


Nous avons convoqué ces deux héros de notre enfance parce qu’ils nous permettent d’y puiser la matière d’une parole de notre temps, vivante, poétique, politique, sociale et, bien sûr, accessible à tous. On y retrouve des familles dans le besoin, des hommes malmenés, des femmes abandonnées, des mômes qui n’ont pas froid aux yeux.


ÉCRIRE POUR LA RUE
Si l’on considère le conte comme forme traditionnelle du récit et le théâtre de tréteaux comme expression même du théâtre de rue, nous nous sommes efforcés de nous rapprocher de l’un
et de l’autre pour jouer ces deux histoires. Ce sont les comédiens de la troupe qui, dans un rapport direct au public, introduisent et commentent par moments l’histoire, pour laisser toute leur place aux personnages qui la vivent et, comme dans une comédie musicale, parfois, la chante.

 

 

 

 

 


LA FANTAISIE DU MASQUE
Le rapport direct au public, essentiel pour nous lorsqu’il est question de jouer dans la rue, est renforcé par le choix du jeu masqué. Chacun des personnages est affublé de petits masques de caractère qui stimulent d’emblée une empathie particulière. Il devient ainsi une « figure » qui, dans toute la richesse de sa palette d’expressions, est la représentation sensible et poétique de types humains mis au service d’une fable sociale contemporaine. Le langage est coloré, les corps sont expressifs, l’esprit est au ludique et à la fantaisie, tout concourt à rendre le spectacle vivant, dynamique, et clair dans ce qu’il a l’ambition de dire.


LA SCÉNOGRAPHIE
Ces deux histoires sont comme deux faces d’une même pièce qu’on lance et qui teinte drôlement sur le pavé. Elles s’enchaînent. Chacune a son décor, représentant, l’un une façade, enfilade d’un bout d’habitat urbain, l’autre une petite cabane qui se déploie au fil du récit. Les comédiens changent à vue le décor. On passe en quelque sorte sans rupture, mais en chanson, d’un quartier périphérique à une pauvre bicoque abandonnée au-delà de la ville.

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